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5 idées reçues sur les IST quand on est étudiant

Les infections sexuellement transmissibles (IST) ? Sortons des tabous et parlons-en ! C’est effectivement un sujet crucial à aborder durant ta vie étudiante. Malheureusement, de nombreux clichés persistent autour de ces infections, ce qui peut conduire à des comportements à risque, à du jugement et à une mauvaise prise en charge de ta santé sexuelle. Kotplanet et Partenamut examinent donc 5 clichés pour les démystifier afin que tu puisses prendre des décisions éclairées concernant ta santé.

Cliché #1 : les IST ne sont qu’un problème mineur, pas besoin de soins médicaux immédiats

Spoiler Alert, c’est faux. La vérité est que les infections sexuellement transmissibles peuvent avoir des conséquences graves sur ta santé si elles ne sont pas traitées correctement. Ignorer les symptômes ou retarder les soins médicaux peut entraîner des complications à long terme. Si tu suspectes une IST (même avec de petits symptômes), consulte rapidement un professionnel de la santé pour obtenir un dépistage et un traitement appropriés. Stressé(e) pour ton budget étudiant et tu penses ne pas pouvoir te payer le médecin ? Sache que via ton assurance santé obligatoire, le système de santé en Belgique rembourse en partie tes consultations tes consultations chez le médecin généraliste.

Cliché #2 : ça ne sert à rien de parler des IST avec les gens qui m’entourent, je dois garder ça pour moi

La communication est essentielle lorsqu’il s’agit de santé sexuelle. Parle ouvertement des IST avec tes amis, ta famille ou tes partenaires sans tabou. Cela pourra t’aider à obtenir du soutien, des conseils et des informations précieuses. De plus, discuter des IST peut contribuer à la sensibilisation et à la prévention, ce qui est bénéfique pour tout le monde. Tu ne te sens pas du tout à l’aise d’en parler à des proches ? Tu peux te tourner vers des professionnels. Avec les Avantages Partenamut, tu peux bénéficier d’un remboursement jusqu’à 320 €/an (20 €/séance) pour tes séances chez le psy.

Cliché #3 : si j’utilise un préservatif, je suis protégé(e) à 100 % contre les IST

Faux ! L’utilisation correcte et régulière du préservatif est un moyen vraiment efficace de réduire le risque de contracter une IST, c’est vrai. Mais attention, il ne garantit pas une protection totale à 100%. Certaines IST peuvent se propager par contact simplement de peau à peau, même en portant un préservatif. N’oublie pas également qu’un contact bucco-génital (par exemple : un cunnilingus) est également à risque. Il est donc important de combiner l’utilisation du préservatif avec d’autres méthodes de prévention, comme le dépistage régulier. Compliqué pour toi d’acheter des préservatifs étant donné ton budget étudiant ? Tu peux en recevoir gratuitement dans les plannings familiaux, mais aussi profiter de l’avantage contraception de Partenamut grâce auquel on te rembourse tes préservatifs. . 

Cliché #4 : je peux dire si quelqu’un a une IST simplement en le/la regardant

Même si cela te semble évident, on préfère le rappeler : les IST ne sont généralement pas visibles à l’œil nu. De nombreuses personnes infectées ne présentent aucun symptôme visible, ce qui rend impossible de diagnostiquer une IST uniquement en se basant sur l’apparence physique. Le seul moyen de savoir avec certitude si quelqu’un a une IST est de passer un test de dépistage approprié auprès d’une institution professionnelle telle qu’un planning familial ou chez ton médecin. Le must ? Encourage la pratique du dépistage régulier pour toi et tes partenaires sexuels afin de détecter et de traiter les IST à temps. Faire un test ne fait pas de toi quelqu’un de suspect. Bien au contraire, tu montres le bon exemple en prenant soin de toi et de ta santé. 

Cliché #5 : les IST ne concernent que les personnes ayant des rapports sexuels non protégés avec plusieurs partenaires.

Rappel également TRÈS important : les IST peuvent affecter n’importe qui, peu importe l’âge, le genre, l’orientation sexuelle ou le nombre de partenaires. Même si tu as des rapports sexuels protégés avec un seul partenaire, tu n’es pas immunisé contre les IST (donc protège-toi et fais-toi dépister). Oui oui, la sensibilisation, la prévention et le dépistage régulier sont donc essentiels pour que tu maintiennes une bonne santé sexuelle.

Maintenant qu’avec Partenamut, on a démystifié ces 5 clichés sur les IST, comprends-tu mieux  les risques associés ? N’aie vraiment pas peur d’en parler et de prendre les mesures nécessaires pour te protéger et protéger tes partenaires. Reste informé(e), ouvert(e) aux échanges sur le sujet et prends soin de toi tout le long de ta vie étudiante, mais pas que ! 

👉 Cet article a été rédigé par Kotplanet pour Partenamut .

Cultivons votre santé !

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