Tu t’es déjà dit que monter un projet pendant tes études, ce serait stylé… mais sûrement trop galère niveau paperasse, thunes et énergie ? Spoiler : le statut d’étudiant(e) entrepreneur(e) existe justement pour t’aider à te lancer sans te ruiner. Et niveau avantages financiers, il a quelques surprises bien cool en réserve. Avec CBC Banque & Assurance, on fait le tour de 4 trucs que tu vas kiffer (en plus d’avoir ton propre blaze sur ton futur CV).
1/ Des cotisations sociales allégées, ton portefeuille te dira merci
Quand tu crées ton activité, t’es censé(e) cotiser comme un(e) grand(e). Sauf qu’avec le statut d’étudiant(e) entrepreneur(e), tu restes dans une zone plutôt chill : si tu gagnes moins de 8 504,44 € net par an (en 2025 selon l’INASTI), tu payes… zéro cotisation sociale. Nada. Et si tu gagnes un peu plus, pas de panique : tu payes seulement des cotisations réduites tant que tu restes sous les 17 008,88 € (toujours selon l’INASTI). C’est quand tu dépasses ce montant que tu passes aux cotisations complètes et que tu n’as plus le status d’étudiant(e) entrepreneur(e). Résultat : tu testes ton projet, tu gagnes un peu (ou beaucoup) et tu évites de t’endetter pour le faire. Pas mal comme début, non ?
2/ Tu peux garder tes droits aux allocs familiales (et ta bonne humeur)
Lancer ton activité ne veut pas dire dire “bye bye aux allocations familiales”. Tant que tu bosses moins de 240 heures par trimestre (merci le compteur étudiant de l’ONSS, student@work) et que tu ne gagnes pas plus de 17 008,88€, ce revenu si nécessaire à la vie étudiante est conservé. Moralité : tu peux te lancer dans l’entrepreneuriat sans foutre en l’air ton budget Netflix et ton frigo semi-rempli. Dans tous les cas, n’hésite pas à en parler avec tes parents et/ou ta caisse d’allocations familiales.
3/ Un compte pro gratos chez CBC pour bien démarrer
Qui dit activité pro, dit compte bancaire pro. Et là, CBC a compris que t’es pas Steve Jobs : en tant qu’étudiant(e) entrepreneur(e), tu peux ouvrir un compte pro gratuit chez eux. Oui, gratuit. Sans frais cachés, sans conditions cheloues. Tu peux facturer tes premiers clients, suivre tes dépenses, gérer ton budget de micro-CEO… le tout depuis ton smartphone. De quoi bosser ton projet comme un(e) pro, sans devoir casser ta tirelire.
4/ Moins d’impôts, plus de liberté
Niveau fiscalité, le statut d’étudiant(e) entrepreneur(e) t’offre un vrai bon plan : tu peux gagner de l’argent sans tout devoir rendre aux impôts dès le départ. Tant que tu restes dans les plafonds de revenus autorisés, tu profites d’un régime allégé qui t’évite les mauvaises surprises à la fin de l’année. Ça veut dire que tu peux investir dans ton matériel, tes déplacements, ou même te payer un peu (ou un peu plus), tout en gardant un équilibre avec ton statut d’étudiant(e).
5/ Un vrai plus sur ton CV (et dans ta tête)
Ok, ce n’est pas un avantage financier pur, mais crois-moi, ça joue aussi sur ton futur compte en banque : avoir été étudiant(e) entrepreneur(e), ça claque sur un CV. Tu montres que t’as de l’initiative, que tu sais gérer un projet, et que tu n’as pas peur de sortir des sentiers battus. En entretien, ça peut clairement faire toute la diff’. Et même si ton projet ne devient pas le prochain Spotify, t’auras appris mille trucs utiles pour la suite (et ça, ça vaut de l’or).
Si tu as une idée, une passion ou juste l’envie de tester l’aventure entrepreneuriale, le statut d’étudiant(e) entrepreneur(e) est un vrai bon plan. Moins de charges, plus de liberté, des aides concrètes et une vraie valorisation de ton parcours. Autant en profiter pendant que t’es encore dans les auditoires de ton univ’ ou de ta haute école. Et qui sait, peut-être que dans quelques années, on fera un article sur toi intitulé “Créer son business pendant les études ? Ils l’ont fait (et ça a marché)”. Avec CBC Banque & Assurances, on l’espère !