Pink Screens revient pour sa 24ème édition ! Le festival de films queers s’invite dans les cinémas bruxellois jusqu’au 10 novembre. Au programme : amour, joie, et douleurs teintées de jaune et de fuschia.
Si tu as envie d’une pause ciné après tes cours, fonce checker leur programmation. En attendant, Kotplanet te dit tout ce qu’il y a à savoir sur cette initiative lgbtqia+.
1/ Plus de visibilité queer
À travers les films proposés, le collectif Genres d’à côté, à l’initiative du Pink Screens, met en avant des identités et des expériences variées. Tu pourras assister à des séances de longs et courts métrages belges et internationaux. Trois focus pour cette année : Lattitudes queers (frontières politiques et intérieures), Queer and Cheap (le ciné sans un sou), et Hecho en Espana (films made in Spain).
Le festival offre un espace où questionner ses propres perceptions et apprendre des autres par différentes histoires. Pink Screens offre de nombreuses occasions de discuter et d’échanger avec des artistes et autres invité·es du festival.
2/ En pratique
Tout au long du festival, les films seront projetés dans les cinémas Nova, Galeries, Aventure, Palace et Beurrschouwburg. Les différents cinémas proposent des billets à prix étudiant : 4€ pour le Nova et 8€ pour les autres. Pour les plus cinéphiles, le Cinéville Pass est accepté mais aucune réservation n’est possible.
Le festival terminera en beauté avec une remise de prix. 4 récompenses mettront à l’honneur des courts-métrages queer belges et internationaux. Le lundi 10, les oeuvres primées feront l’objet d’une dernière séance, avant d’ouvrir la dernière soirée du festival. Mais attention, l’entrée de la fête de clôture est payante (et les tickets sont limités).
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