À Roulers, certains étudiants ont trouvé un logement… plutôt atypique. Pas de coloc bruyante ni de voisin qui pique ton lait au frigo : ici, leur kot se trouve carrément dans une maison de repos. Oui, oui, tu as bien lu.
1/ Le deal
Le loyer est plus que tentant : 250€ par mois, tout compris avec internet. En échange, les étudiants passent 5 heures par semaine à partager des moments avec les résidents. Pas de soins ou de tâches lourdes, mais des activités légères qui rapprochent comme une partie de baby-foot contre un papy ultra-compétitif, un papotage autour d’un verre ou même un atelier tricot improvisé. L’objectif ? Créer du lien et rendre la maison de repos un peu plus vivante.
2/ Un vrai bon plan ou pas ?
Vu la galère actuelle pour trouver un kot abordable, cette formule peut faire rêver. Les étudiants profitent d’un prix bas, les seniors d’un peu de compagnie, et tout le monde y gagne. Mais attention, ce n’est pas non plus le plan miracle, cinq heures par semaine, c’est du temps en moins pour tes cours, ton blocus ou ton job étudiant.
3/ Tu t’y verrais ?
Ce type de kot est idéal si tu aimes le contact humain et que tu recherches un environnement plus posé. Mais si tu préfères l’ambiance fiesta avec musique à fond et voisins toujours partants pour l’after, ça risque de te changer. Imagine un beer pong intergénérationnel ou un blind test années 60 au lieu d’un jeudi soir au Carré… pas vraiment la même vibe !
Un kot pas cher, original et solidaire, ça ne court pas les rues. Alors, est-ce que tu pourrais te voir vivre ton quotidien étudiant au milieu d’une maison de repos ?
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