En tant qu’étudiant, on n’échappe pas aux périodes de stress et de doute. Malgré les clichés, la vie estudiantine est souvent compliquée. La plupart d’entre vous essaient de rester positifs, mais parfois, les choses se compliquent. Dans ces cas-là, c’est généralement difficile de trouver la force de demander de l’aide. N’hésite pas à faire appel à des professionnels pour t’aider et de profiter de moments chouettes du quotidien. N’oublie donc pas qu’il y a des choses essentielles à savoir pour mettre ta santé mentale au centre de tes préoccupations. Parmi elles, il y a le “bien manger” et le “vivre ensemble”, pourquoi ne pas lier les deux si tu vis en kot ? Et oui, le souper commu peut avoir une vraie influence sur ta santé mentale. Kotplanet et Partenamut te parlent donc des effets d’un souper commu hebdomadaire sur ton bien-être d’étudiant.
1/ Ça fait du bien au moral
Tu enchaines des semaines de malade et tu n’as parfois pas le temps de te poser dans le salon. Dommage de ne pas profiter des espaces communs de ta coloc ou de ton kot alors que tu as la chance d’avoir un endroit hyper sympa pour vivre… Toi qui imaginais une vie en communauté, tu es parfois seul(e) dans ta chambre parce que tu rentres tard d’une journée de cours… Et si on prenait le temps de se faire plaisir ? Oui oui, tu le mérites ! Et, tu n’imagines pas à quel point se mettre en face d’un bon petit plat réconfortant entouré(e) des best cokotteurs ever peut faire du bien à ton petit cœur. Donc maintenant, c’est trop : place un grand calendrier dans le commu et sélectionnez ensemble un soir par semaine ou par mois. Le rendez-vous étant fixé, te voilà reparti(e), rechargé(e) à bloc pour la suite du quadri. Déjà hâte d’y être ?
À la suite de votre premier souper commu, vous vous êtes mis d’accord sur une chose, cette année, vous avez envie de plus bouger et mieux manger ? Partenamut te soutient dans tes démarches et te contribue à tes séances chez un diététicien ou un nutritionniste en te remboursant jusqu’à 60 €/an (4 x 15 €/consultation).
2/ Tu vas enfin manger quelque chose de bon
Pas qu’on n’ait pas confiance en tes talents de cuistot mais… En fait, si. Tes compétences sont très minimes et cela fait des mois que tes colocs te voient manger la même chose. Ce souper commu est enfin l’occasion de manger un bon petit plat qui change de d’habitude. Ce soir, pas de prise de tête : pas besoin que ce soit un repas diététique, l’idée est de se faire plaisir. Faites-vous un bon couscous, des pokébowls ou bien des tacos ou des fajitas de poulet ! N’oubliez pas non plus un petit apéro avec de l’houmous, des carottes, etc, (oui, bon, un peu healthy quand même finalement). En tout cas, fini de manger des pâtes au ketchup tous les soirs de la semaine. Établissez un petit souper commu hebdomadaire et tu auras la sûreté de manger quelque chose de sympa, entouré(e) des personnes que tu aimes, une fois par semaine.
3/ Ça resserre les liens
Même si tu connais a priori tous tes colocs, c’est bien aussi de faire un break et de se poser tous ensemble. Discutez de la dynamique du kot, des activités que vous pourriez faire ensemble. Pourquoi ne pas parler d’instaurer un “jour sport” par semaine pour se motiver, par exemple ? Un moment autour d’une table est vraiment propice aux bonnes idées. Il faudra juste après tenter de les appliquer. Attention, pas question de se mettre trop la pression, mais plutôt d’améliorer votre “vivre ensemble”. Une coloc, c’est comme toute relation : il faut l’entretenir et s’assurer que tout le monde se sente bien. Laisse du temps à chacun de se confier sur ses ressentis et sur les choses qu’il aimerait changer dans le commu. Et petit secret pour toi : évoluer dans un environnement dans lequel les gens sont heureux rend joyeux.
4/ Tu feras peut-être de chouettes rencontres
Contrairement au point précédent, il existe des colocations où les membres ne se côtoient pas forcément. Alors, grosse pensée à ce bon vieux coloc qui ne sort jamais de sa chambre. Tu vas enfin pouvoir le connaître et en savoir plus sur sa vie de noctambule ermite. Tu as top chrono 1h avant qu’il retourne dans sa tanière, essaie donc de découvrir ses hobbies, les études qu’il fait et surtout… S’il est heureux. Parfois, tu peux vivre avec quelqu’un sans pour autant ressentir son mal-être et c’est ça aussi le rôle d’un super coloc : faire attention à la santé mentale des siens. N’oubliez pas que vous pouvez aussi faire venir des +1 si la place le permet. T’es pas en couple ? Ramène ton/ta meilleur(e) pote pour qu’il/elle ait un aperçu des soirées de folie qui auront lieu dans les prochaines semaines.
5/ Il y aura sûrement des restes faits maison pour le lendemain
Si tout le monde joue le jeu et que vous faites un apéro dinatoire par exemple, il y a des chances que tu puisses en prendre avec toi le lendemain en cours. Et le chili de ta coloc est terrible, mais encore meilleur le lendemain, sache-le. C’est un bon moyen de faire des économies et de ne pas acheter tous les jours un vieux sandwich “jambon beurre” sur le campus. Ou mieux encore : ça repart sur un second souper commu le lendemain, quelle bonne idée non ? On est sûr d’une chose : ça te met déjà en joie.
L’agenda est bloqué sur les 6 prochains mois ? Parfait, les gars ! Te voilà donc assuré(e) de prendre au moins 26 soirées pour toi et tes colocs d’amour. Rappelle-toi de prévoir des petites courses avant le soir fixé afin de montrer tes talents de cuisiner (du moins, essayer). Et pourquoi ne pas devenir un pro de l’alimentation pour les épater ? Profitez de cette belle soirée !
👉 Cet article a été rédigé par Kotplanet pour Partenamut .