Le ski étudiant, cette semaine de pur bonheur. Une semaine en groupe, c’est aussi l’occasion de profiter tous ensemble. Mais, c’est aussi l’occasion d’avoir des anecdotes. Que ce soit à cause de l’alcool, des prix, ou alors des blagues, Kotplanet te livre 5 anecdotes d’étudiants au ski. Et pour bien reposer ton corps après le ski, voici 5 astuces pour reposer son corps et ses muscles après le ski étudiant.
Le before avant le trajet
Éléonore qui est partie à Avoriaz.
“Je suis partie avec le cercle de Médecine. Pour attendre le bus, le cercle avait ouvert son bar, de quoi nous occuper. Un ami y était depuis 18h plus ou moins (jusque 23 h 30). Il a donc bien profité avant de monter dans le bus. Une fois dans le bus, il a décidé de continuer de boire. Vodka rouge, Maitrank, Ricard, il se faisait plaisir. À un moment, le mal arriva. Il commence par s’endormir, mais comme il avait l’air malade et qu’on avait peur qu’il nous vomisse dessus, on décide de lui mettre un sac pendu à ses oreilles pour récupérer son vomi. Comme prévu, il a vomi. Notre technique n’a pas si bien marché, car j’en ai eu un petit peu, mon copain et sa voisine de bus aussi. Après ça, il ne réagissait plus à rien. Sa tête partait à droite, à gauche, on devait le tenir par les cheveux pour le maintenir. Pendant presque six heures, il ne réagissait plus, même pas quand on le pinçait. Heureusement, il s’est réveillé après six heures de trajet, évidemment sans se souvenir de rien.” Pour ton ami, Kotplanet a 5 astuces contre la gueule de bois.
“Pour la petite anecdote, avec lui, on prend toujours des cappuccinos. Quand il s’est réveillé, c’est la première chose qui m’a dit : “on se prend un petit cappuccino ?”. J’ai cru que j’allais le tuer.”
Mais comment savoir qui est le meilleur skieur dans ton groupe de potes ?
Le coup du télésiège
Juliette qui est partie en Suisse.
“Durant le ski étudiant, c’étaient plus des petites galères. En tout cas pour nous, car pour un groupe d’amis, c’était plus compliqué. En gros, en fin de journée, les télésièges fermaient (logique). Sauf que souvent, on profitait au maximum. Donc, en fin de journée, il nous arrivait de passer vraiment tout juste aux télésièges. Mais, trois autres personnes, elles, n’ont pas su descendre et sont restées bloquées en Suisse.”
De quoi chanter “Étoile des neiges”.
N’oublie pas de bien reposer tes muscles après le ski !
Quand rien ne va
Arthur qui est parti avec ses amis à Andorre.
“On est parti à Andorre avec des amis et un groupe organisateur. D’abord, pendant le blocus, on reçoit plein de mail pour nous donner envie. Sauf qu’on est bloqué en plein examen et donc, c’est un peu frustrant. Ensuite, quand on est arrivé, on avait un appartement de trois personnes alors qu’on était cinq. Deux personnes devaient dormir sur le canapé, car ils n’avaient pas de matelas. Pendant la semaine, les after-ski étaient trop tôt, donc on n’avait pas beaucoup le temps de profiter de la neige durant la journée. Pleins d’activités étaient payantes, alors qu’on a déjà pas mal payé pour la semaine et que ça brise un peu notre portefeuille. Le dernier jour, on a dû rendre notre appartement à 8h, et le bus était à 21 h 30. Et honnêtement, rester une journée entière dans la ville d’Andorre, ce n’est pas la ville la plus touristique au monde. Donc même la dernière journée était longue.”
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Les blagues, qui tournent mal
Romain – destination inconnue
“J’étais parti avec un groupe organisateur, et la résidence était vraiment grande et on était beaucoup. Et pour rire, un soir, on décroche une porte d’entrée d’un appartement. On a caché la porte, mais en revenant dans notre appartement, on avait plus notre porte d’entrée. Au final, tout le monde courrait avec des portes. Il y avait même une chambre où il n’y avait plus du tout de portes. Plus de porte d’entrée, de chambre, de salle de bain. Et là, on entend le directeur de la résidence venir, donc on cache toutes les portes sur le balcon. Et heureusement, il n’a rien vu, mais il était fâché et disait “si j’attrape celui qui a volé toutes les portes, il part d’ici et perd sa caution.”
Le mauvais saut
Alexandre – destination inconnue
“Celle-là, c’était il y a quelques années. On skiait tranquillement en hors piste, mais il y avait quand même pas mal de brouillard. À cause du brouillard, on ne voyait pas le bout de la piste. On savait qu’il y avait sûrement un petit saut à faire. Alors, je fais le saut, et puis, mon pote fait aussi le saut. Sauf qu’il avait tellement peur et qu’il était tellement congestionné qu’en retombant, il s’est déféqué dessus. Bon, rien de grave, mais on a dû rentrer plus tôt à l’appartement pour qu’il puisse se changer.
