T’es du genre à tout surligner en fluo et à ne plus rien comprendre à tes notes ? Pas de panique, on t’apprend à organiser tes synthèses avec un code couleur efficace (et esthétique) pour mémoriser plus vite et réviser plus sereinement. Spoiler : un BIC 4 couleurs, c’est la clé ! Et le bonus ? Pas besoin d’en racheter tous les mois : un seul stylo peut t’accompagner tout au long de l’année. Moins de gaspillage, plus d’organisation durable !
1/ Réfléchis déjà à une table des matières lisible
Avant de dégainer ton BIC préféré, commence par penser global : titre, sous-titres, chapitres numérotés… Mets tout à plat avec une table des matières au début ou un plan visuel si tu préfères (à faire à l’avance, pas la veille du blocus, oups). Le code couleur te permettra ensuite de faire ressortir chaque partie, rendant la navigation super fluide dans tes notes (et beaucoup moins décourageante). N’oublie pas que ton cerveau adore les repères visuels, adopte donc une table des matières en couleur pour que tu puisses avoir une vue globale et structurée de l’ensemble du cours. Si tu réalises ce genre de “menu” grâce à un BIC 4 couleurs, ça pourrait clairement te sauver la vie lors d’un examen !
2/ Utilise le même code couleur dans tes versions manuscrites et numériques
Que tu sois team cahier ou team ordi, la cohérence est reine. Et si tu es team les deux, c’est encore plus important. On t’explique : tu as des synthèses faites à l’ordinateur, mais durant ton blocus, tu as besoin de tout réécrire pour que l’information soit vraiment assimilée ? Garde le même code couleur partout : ton cerveau va associer chaque teinte à une info précise, et cette régularité va booster ta mémorisation. On te donne un petit exemple : si le rouge de ton BIC 4 couleurs signifie “définitions” dans ton carnet, il doit aussi les signaler dans ton fichier Word ou sur Drive. Simple, mais ultra efficace !
Et qui dit code couleur à l’écrit dit… BIC 4 couleurs évidemment. Pourquoi ? Parce qu’il a tout : il est pratique, il est écolo (c’est un seul BIC donc 13% de plastique en moins), il est économique (parce que tu vas pouvoir écrire plus de 6 kilomètres de contenus) mais il est aussi ultra-reconnaissable (c’est ton bic, OK ?!)
3/ Choisis des couleurs classiques mais agréables
Pas besoin d’un arc-en-ciel entier, cela risque de te rendre la lecture, et donc la mémorisation, plus difficile. Quelques couleurs bien choisies suffisent à faire le taf (surtout si elles sont bien utilisées). Commençons par les classiques du BIC 4 couleurs standard :
- Rouge : il attire l’œil et aide ta mémoire à long terme.
- Bleu : il est apaisant et favorise la concentration.
- Vert : il est lié à la stabilité et l’équilibre (et durant un blocus… c’est important !)
- Noir : ta base, la couleur neutre pour une bonne rédaction
Tu préfères les ambiances plus douces ? BIC a aussi une version pastel (oui, ils ont pensé à tout !). En plus d’être méga stylé, il peut t’aider à associer les couleurs à tes humeurs ou à tes matières.
4/ Choisis une couleur pour les définitions, les exemples, les dates importantes, etc.
L’idée, c’est que ton cerveau sache d’un coup d’œil à quoi il a affaire. Voici un exemple de code couleur simple et béton de la team Kotplanet et de BIC :
- Rouge : définitions
- Vert classique : exemples concrets
- Bleu classique : titres et notions clés
- Noir : explications générales, ton texte
Tu peux bien sûr adapter ce code à ta façon de bosser, mais un seul secret : réfléchir à l’avance à ton code couleur. L’essentiel, c’est de garder la même logique d’un chapitre à l’autre, d’un quadrimestre à un autre et d’un support à un autre. Et de ne pas te laisser emporter par l’envie de tout colorier (on te voit venir avec les kilomètres possibles grâce à BIC).
Tu le sais peut-être pas, mais derrière son look ultra sobre, ton stylo BIC cache un engagement bien plus grand qu’un simple outil d’écriture. Chez BIC, la durabilité, c’est pas un slogan : c’est une promesse.
