Les examens sont finis, les dés sont jetés, et maintenant ce sont les vacances pour les étudiants. Et pourtant, une partie des étudiants ne passent pas de bonnes vacances. Le responsable : l’attente des résultats des examens. Si certaines universités ou Hautes-Écoles publient les résultats au compte-goutte, d’autre les publient en une seule fois. Mais comment les étudiants arrivent à gérer cette attente ? D’ailleurs, si tu n’as pas encore trouvé une manière de gérer ton stress, la team Kotplanet te donne 3 façons de gérer ton stress à l’approche des résultats.
Le déni
Certains étudiants ont misé pour la solution la plus efficace : le déni. C’est le cas de Laura, 20 ans, étudiante en communication : “Moi, j’ai récemment trouvé une manière de gérer le stress, car je suis assez anxieuse : le déni. J’essaye de ne pas y pensé, parce que je sais que je ne peux rien y faire à part attendre.” Le déni n’est pas quelque chose de négatif, il permet à ne pas penser à quelque chose qui nous stress. L’objectif est aussi de se concentrer sur autre chose, comme nous a expliqué Sarah.
“C’est fait !”
Honnêtement, les examens sont finis, et comme la Team Kotplanet l’a dit, les dés sont jetés. Célestin, 20 ans et aussi étudiant en communication, nous a répondu : “La seule technique que j’utilise, c’est de me dire que c’est fait. Je ne sais plus rien faire pour changer la situation. Mais, ça sera un soulagement d’avoir mes résultats, car je serais enfin fixé.” Maël, 24 ans, étudiant en relations publiques, complète son avis, et rajoute qu’il ne faut pas avoir de regret dans sa session. “J’estime avoir donné le meilleur de moi-même pour ma session, après, c’est juste le destin”.
Et quand tu auras tes notes, tu vas réagir comment ? Est-ce que tu passeras par ces 5 réactions à l’annonce de tes résultats ?
Ne pas perdre son énergie
Le stress, ça nous prend beaucoup d’énergie, c’est sûr. Donc, pour ne pas perdre son énergie, Arthur, 21, étudiant en journalisme, conseille de se consacrer à autre chose. La seule solution, c’est d’attendre. Il préfère se consacrer à autre chose, comme son stage qui va arriver, ou simplement de se reposer avant de recevoir ses résultats. “On a déjà perdu assez d’énergie pour les examens, donc c’est bête d’en reperdre.”
Faire la fête
D’autres étudiants sont plus “radical” et estiment que faire la fête est une bonne façon de ne pas y penser. Et c’est vrai, se changer les idées, boire un verre avec les amis, ou même le ski étudiant est une bonne manière de ne pas penser aux examens qui sont passés. Et en plus, la semaine blanche, c’est aussi pour profiter. Une bière, des amis, et c’est fait, la fête peut commencer, et on oublie aussi vite les examens.
Dédramatiser
“En vrai, il y a pire dans la vie que de raté des examens” nous dit Loïc, étudiant à la polytech. Et honnêtement, la team Kotplanet est d’accord : si tu as fait le meilleur de toi-même, ça arrive de rater un examen. La session d’août est là pour ça aussi. Romain, étudiant en sciences politiques, nous rappelle de s’accrocher quoi qu’il arrive, et des examens de raté dans la vie, ce n’est pas si grave. Et si tu te demandes comment les étudiants gèrent-ils leur deuxième session, jette un œil à notre article “Comment les étudiants vivent-ils la deuxième session ?”.
Qu’en pense la communauté Kotplanet sur Instagram ?
70% de notre communauté Instagram n’ont pas encore reçu leurs résultats. 41% d’entre eux stressent pour leurs résultats. Dans ceux qui ne stressent pas, un tiers essaie de ne pas y penser, un tiers n’a pas de regret pour sa session et un tiers savent qu’il y a encore août pour se rattraper. La technique que les étudiants utilisent le plus (46% d’entre eux) pour gérer le stress est de se consacrer à autre chose.
En tout cas, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de stresser pour l’attente des résultats. Par contre, si le stress te ronge, Kotplanet a pour toi 5 accessoires anti-stress.
Nous espérons que tu as géré ta session, et sinon, on a encore pleins de conseils études, lifestyle, détente, pour les étudiants sur notre Instagram ou notre TikTok.
