Se faire des ami.e.s à l’unif, ça peut sérieusement se révéler être une épreuve, parfois plus insurmontable encore que les cours. Selon ta personnalité, tes cours, ta confiance en toi, tes horaires, etc., ça peut être très simple comme super difficile. Et, bien évidemment, il y a quelques galères que tu peux avoir sur le chemin pour se créer de nouvelles amitiés. Voici le top 3 des galères pour se faire des potes en auditoire.
On a même un guide de la rentrée pour se faire des potes !
1/ La zone de confort
La première galère quand tu essayes de te faire des potes en auditoire, c’est bien sûr de devoir sortir de ta zone de confort. Elle est agréable, tu t’y sens bien, elle est familière aussi. Et, peu importe à quel point on est extraverti.e, confiant.e en soi, et j’en passe, aller vers les autres, ça peut rendre nerveux.se n’importe qui. On a parfois du mal à se lancer, à oser ne serait-ce que se rapprocher des autres étudiant.e.s et on se tourne vers la solution simple : s’asseoir là où il y a de la place, sur un banc libre. La première galère à passer, c’est donc bien d’aller t’asseoir à côté d’une personne que tu vois, seule ou en groupe, qui te semble sympa et avec qui tu vas essayer d’entamer quelque chose.
2/ La conversation
Dans notre situation hypothétique, tu as dit bonjour, tu t’es assis.e à côté de la personne… Et maintenant quoi ? Le cours n’a pas encore commencé, le prof doit encore arriver et les élèves s’installent doucement autour de toi. Deuxième galère à surmonter dans ces moments-là : commencer une conversation. Parce que, oui, même pour les plus bavards, lancer une conversation avec une personne que tu ne connais pas n’est pas forcément mince affaire. De quoi pouvez-vous parler ? La discussion va-t-elle se dérouler naturellement ? Vas-tu être en mesure de rebondir sur ce que l’autre personne te dit ? Et difficile de trouver sur le coup autre chose à dire que “Il fé pa bô hein”. Trouver un sujet de discussion qui peut tou.te.s les deux vous intéresser – ou essayer de le trouver à travers différentes questions -, c’est également une épreuve que tu vas devoir passer. Mais ne t’inquiète pas, si tu tombes sur la/les bonne.s personne.s, la conversation se déroulera très bien.
T’es-tu déjà demandé si tu avais une petite ou grande batterie sociale ?
3/ Le rejet
Le pire scénario qu’on imagine lorsqu’il est l’heure de se faire des potes en auditoire : tu essayes d’entamer une conversation, ou tu demandes si tu peux t’asseoir à côté de la personne, et elle te dit non. Ou alors, la conversation se passe mal et tu n’arrives pas à construire quelque chose à partir de ça. Les rejets sont parfois, qu’on le veuille ou non, un coup sur notre estime de nous-mêmes. Évidemment, cela varie selon les personnes. Mais se retrouver dans une situation vulnérable – tu viens de commencer l’unif, tu ne connais encore personne, tout est nouveau pour toi – va amplifier l’impression d’être complètement rejeté.e. Surtout si tu les cumules – ce qui peut arriver. Tu ne vas pas forcément trouver la/les bonne.s personne.s d’un seul coup, et ça va peut-être te demander des efforts. Mais retiens bien que le rejet n’est jamais aussi horrible que ce qu’on pense. Tes efforts n’ont pas abouti ? Ce n’est pas grave, garde confiance en toi et sache que tu arriveras sans souci à te faire des potes en auditoire, il faut juste être patient.e et persévérant.e. À force d’efforts, tu trouveras un.e pote ou un groupe de potes qui sera parfait.e pour toi !
Besoin de conseils sur la manière de se faire des potes en auditoire ? C’est par ici !
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