Quand on est étudiant, on est très souvent sujet au stress. Il nous touche à des moments différents, de manière différente. Jusque-là, rien de bien nouveau, la vie étudiante apporte son lot de préoccupations diverses. Mais, parmi elles, il y a le doute qui peut s’avérer un poil compliqué à gérer
Réfléchissez au mode de vie qui vous convient le plus. Avant de choisir vos études/options/mineures, renseignez-vous un maximum sur les cours, la méthode d’évaluation, les horaires, etc. Ainsi, vous pourrez vous préparer un maximum. Également, n’hésitez pas à parcourir les listes d’études proposées par les universités, vous pourriez tomber sur de bonnes surprises et vous découvrir !
Mais, malgré être parfaitement renseigné(e), il y a toujours des imprévus. On peut commencer un cursus, motivé, et au fur et à mesure des années, les cours pourront sembler inintéressants ou trop compliqués. La structure des cours ne te plait pas. Tu te sens seul(e). Tu n’as jamais de temps pour toi. Ou alors, malgré beaucoup d’efforts et de volonté, pas de bonnes notes en contrepartie. On se demande alors « Pourquoi est-ce que je m’inflige tout ça ? », « Est-ce que j’ai fait le bon choix ? », « Est-ce que c’est vraiment ce qui me plaît ? ». Cette série de questions nous mène vers le second point, le plus important pour savoir se décider.
Choisir quelque chose juste parce qu’on aime ça, c’est poétique mais pas utile. Choisir quelque chose juste parce que c’est très pratique, c’est logique mais pas très productif, car pas de motivation pour vous booster. En quoi êtes-vous bons ? Langues, mathématiques, littérature, sciences, théâtre, économie ? Se connaître, ça facilite pas mal les choses !Faites-vous confiance.
Si ces dernières vous consument de l’intérieur, vous dépriment, vous tirent vers le bas, vous stressent immensément lorsque vous y pensez, alors pensez à une reconversion. Parlez-en autour de vous, à des personnes de confiance. N’hésitez pas à aller vers l’inconnu (tout en respectant la règle des débouchés et de la passion !) si vos études actuelles vous rendent malheureux, malade, isolé(e).